Merci, madame la secrétaire d'État, pour cette première réponse, même si elle est encore insuffisante – je précise au passage que les interprètes afghans ne sont pas les seuls personnels concernés. Beaucoup de cas personnels ne sont pas résolus, notamment ceux d'auxiliaires arrivés sur notre territoire mais qui ne sont pas reçus dans les conditions qu'ils méritent.
Vous n'avez pas évoqué le sujet des auxiliaires actuellement en service auprès de nos forces, en particulier ceux engagés dans l'opération Barkhane. Avez-vous des chiffres ? Savez-vous combien ont servi nos armes depuis le début de l'opération Serval ? Combien servent nos armes aujourd'hui ? Lors de ma visite de la base de Niamey, l'on m'a dit qu'il y avait presque plus d'auxiliaires que de militaires français. Quel est aujourd'hui le fichier informatique de ces auxiliaires ?