Des agriculteurs céréaliers de la région Grand Est ont fait de la paille de maïs : elle doit à présent être transportée, parfois sur de longues distances. Or le transport est cher : il faudra bien, à un moment donné, le prendre en charge par de l'argent public. Et cela n'influera nullement sur le cours de la paille, puisque celle-ci est gratuite !
J'ai bien compris, monsieur le ministre, que vous surveillez cette question comme le lait sur le feu : si le couvercle de la marmite se soulève, nous reviendrons à la charge !