Bien sûr que non !
Nous ne pouvons donc pas nous satisfaire d'une telle réponse, monsieur le ministre, parce qu'il y a des besoins, une attente du terrain. Si votre méthode était la bonne, monsieur le ministre, cela fait longtemps que nous en serions aux 20 % de bio préconisés par le Grenelle de l'environnement ! Or, c'était prévu pour la fin 2012 ! Malgré les bonnes volontés, les déclarations d'intention, les mains sur le coeur, cela n'a rien donné. Pourquoi serait-ce aujourd'hui plus efficace qu'hier ?