Je rappelle qu'il ne s'agit en aucun cas d'une demande récente. Je suis d'accord avec notre collègue Pupponi lorsqu'il souligne que c'est un domaine sensible, où les choses évoluent à une vitesse vertigineuse, de même que je rejoins notre collègue Bourlanges lorsqu'il observe que le montant est somme doute modique – 17 millions d'euros au regard du volume global du budget – même s'il peut permettre de faire levier.
Je soutiendrai donc cet amendement.