Le FDVA existait déjà quand a été supprimée la réserve parlementaire. On a alors injecté 25 millions d'euros, provenant de la réserve parlementaire, dans une nouvelle ligne budgétaire ouverte à tout le monde, avec une clef de répartition départementale, permettant aux associations de financer des projets – aussi bien en investissement qu'en fonctionnement.
Mais le FDVA disposait déjà de fonds spécifiques pour la formation des bénévoles. Son budget est donc composé aujourd'hui de deux lignes séparées : une pour la formation des bénévoles, qui est maintenue ; une autre, nouvelle, qui finance l'accompagnement par les départements.
La proposition de Mme Goulet vise aujourd'hui à créer une troisième ligne, spécifiquement dédiée au sport. Cela me paraît une bonne idée, car le FDVA est un très bon outil, qu'il faut doter et utiliser davantage, mais en sécurisant ses deux premières lignes budgétaires.