Vous avez aussi évoqué les questions budgétaires et financières. Ce qui m'anime, je le dis en préambule, est moins le souci de la dépense publique que celui d'équilibrer enfin, et dans la mesure du possible, les comptes. Si le fait de ne pas s'en soucier suffisait à faire le bonheur des intéressés, alors tout serait réglé depuis quarante-quatre ans. Mais, la vérité, c'est que notre pays est en déficit budgétaire depuis quarante-quatre ans, sans que les problèmes qui vous préoccupent, à commencer par la prise en charge du handicap, ne soient réglés.