Penser à l'équilibre des comptes, penser à l'avenir budgétaire de notre pays, ce n'est pas s'en tenir à une étroite orthodoxie budgétaire, ni faire litière du droit au bonheur que vous avez évoqué : c'est faire preuve, dans la gestion des deniers publics, d'un sérieux que j'assume assez bien car il répond, je crois, à une demande de nos concitoyens.