Je ne dis pas le contraire.
Un dernier mot sur ce que vous venez de dire, car il y a une chose que je n'arrive pas à comprendre. Vous persistez à dire que ce projet de loi pénalisera nos acteurs économiques en leur interdisant d'abord l'exploration puis, d'ici 2040, l'exploitation. Vous ajoutez que la fin de l'exploitation nous conduira à importer 1 % de pétrole en plus : c'est ce que je vous entends répéter en boucle. Et si c'était le cas, alors vous auriez raison : tout cela ne servirait à rien, et il faudrait laisser tomber la bataille climatique. Mais notre objectif est bien de réduire considérablement notre consommation – et donc nos importations – d'hydrocarbures.