La remarque de notre collègue est très intéressante. Il serait en effet utile, madame la secrétaire d'État, que nous ayons connaissance des appels d'offres infructueux – c'est-à-dire de ceux auxquels aucun investisseur privé ne répond, ce qui peut conduire à des blocages. Que fait-on dans ce cas ? La puissance publique monte-t-elle au créneau ou le projet doit-il être abandonné ?