Qu'il s'agisse de la DSIL ou de la DETR, soit les critères sont si rigides que les dotations deviennent automatiques – et M. Schellenberger protestera qu'une telle pratique contredit la décentralisation et les libertés locales – , soit les critères en fonction desquels les commissions DETR, par exemple, et le préfet prennent leurs décisions sont assouplis, et il peut y avoir des effets de bord.
Je ne connais pas bien le préfet du Val-d'Oise…