L'École normale supérieure de Sèvres constituait une sorte de protection, une voie d'accès privilégiée pour les filles. On voit des exemples de jeunes filles qui ne veulent pas être en compétition avec les garçons à certains âges. Certaines sont très bonnes en mathématiques au moment de leur baccalauréat et vont s'orienter vers des études réputées plus ouvertes, comme les études vétérinaires ou de médecine, qui sont, en fait, des filières où il est beaucoup plus difficile de percer qu'en mathématiques. Mais on ne peut pas, maintenan, re-séparer ces deux écoles, il faut donc trouver de nouvelles solutions.