C'est un sujet que j'inclus dans la réflexion sur la diplomatie scientifique. Les vingt-deux pays de l'Agence spatiale européenne (ESA) ont développé le programme scientifique LISA, détecteur interférométrique dans l'espace à des millions de kilomètres destiné à l'observation des ondes gravitationnelles. On a déjà réussi à lancer un démonstrateur technologique, j'espère que LISA, qui a été validé comme programme, qui coûte très cher et dont le budget est à peu près sécurisé, pourra compléter les données obtenues par VIRGO.