Dans notre exercice de sincérité budgétaire, il faut à la fois mieux dépenser et dépenser ce qui est juste. Il ne s'agit donc évidemment pas de revenir en arrière, mais d'adapter le dispositif : si la demande augmente, il faudra augmenter les crédits l'année suivante.
Pour l'instant, nous n'avons pas de besoin. Si l'estimation avait été faite comme il était possible de la faire, nous disposons maintenant du constat réel de la demande. Toutes les demandes sont donc acceptées. Nous avions en définitive un peu surbudgété cette demande l'année dernière.