Nous faisons le choix – et j'apporte là un élément de réponse aux observations formulées tout à l'heure par M. le député Bazin – d'une politique publique dépassant très largement le cadre budgétaire qui nous occupe ici et déterminant des priorités d'action dans certains territoires, notamment dans le cadre du programme « Action coeur de ville », lequel est doté non de 16 millions d'euros mais de 5 milliards.