Pardonnez-moi, monsieur le président. Le PTZ, disais-je, est un sujet d'importance, eu égard au problème de solvabilité d'un certain nombre de ménages situés en zones B2 et C. Le Crédit foncier, d'ailleurs, évalue à 15 % supplémentaires la capacité d'investissement des familles ayant recours au PTZ. Un tel levier est un argument de poids, vous l'imaginez bien, pour convaincre une banque et accéder ainsi à la propriété.