La réhabilitation fait l'objet d'une ligne budgétaire unique, qui n'inclut donc pas l'ANAH. On confie à cette dernière de plus en plus de misions, parmi lesquelles l'accessibilité, que j'évoquais. Au-delà de l'amendement sur l'enveloppe de 17 millions d'euros, que je vous présenterai ultérieurement, la question est donc de savoir comment renforcer l'action de l'État dans la réhabilitation de logements insalubres outre-mer. C'est précisément l'objet de la mission du Conseil général de l'environnement et du développement durable, à laquelle nous vous associons bien entendu.