Le sujet soulevé ici est essentiel, je ne veux donc pas me contenter d'un simple « défavorable ». Le problème de l'hébergement d'urgence est que, sans domiciliation, il n'est pas possible de se réinsérer.
Tous les centres d'hébergement d'urgence incluant désormais des services de domiciliation, leur financement est déjà inclus dans celui que nous allouons aux associations. L'avis est défavorable en ce sens qu'il n'y a pas lieu de créer une ligne budgétaire spécifique, mais je suis entièrement d'accord, madame Obono, avec ce que vous avez suggéré : la réinsertion passe d'abord par une adresse. Je salue le travail fait en ce sens par les gestionnaires des centres d'hébergement.