Ma question est proche de celle de M. Rouillard, car elle porte sur l'attractivité de la France vis-à-vis des armées étrangères. Nous avions abordé le sujet avec la directrice générale des relations internationales et de la stratégie en évoquant les stages proposés aux autres armées.
Je souhaitais savoir quelle est votre philosophie en la matière, et si cet oxymore de « diplomatie militaire » que nous avons entendu ici constitue pour vous une perspective d'avenir. Pour préciser ma pensée, je dirai que mon interrogation porte sur l'ouverture des stages que nous délivrons aux autres armées, ainsi que sur la fortune que l'expression de diplomatie militaire est appelée à connaître ou non.