J'irai dans le même sens. L'article 51 ne vise ni plus ni moins qu'à affaiblir la portée d'un dispositif anti-abus qui fonctionne bien. Je rappellerai simplement que les impositions en sursis au 31 décembre 2017 représentent tout de même 5,3 milliards d'euros.
Au sujet des chiffres, il semble que, dans le tableau figurant à la page 335 de l'évaluation préalable, il y ait une erreur, dans la colonne des sommes. Si on reprend les chiffres de 2012 jusqu'à 2017, on aurait une différence de 11 000 euros sur le total ; sur les créances en sursis, elle serait de 190 000 euros, apparemment.