On n'a pas forcément besoin de définir juridiquement le bitcoin. Il nous suffit d'en fixer le régime fiscal, comme c'est arrivé dans d'autres cas. L'amendement du président Woerth est particulièrement pertinent : il qualifie fiscalement ce type de plus-values en se fondant effectivement sur l'avis du Conseil d'État qui assimile les bitcoins à des éléments incorporels.