Monsieur le rapporteur général, votre réponse est insuffisante. Vous ne tenez nullement compte des conditions objectives de la Corse, du taux de chômage qui sévit dans l'île, de la précarité, de la déshérence de vastes espaces ni du niveau de vie moyen. Vous savez très bien que nous avons recentré dernièrement le crédit d'impôt parce qu'il alimentait une économie spéculative. Ici, il ne s'agit pas de cela mais de nourrir les PME dans leur développement.