Cet amendement supprime non seulement des dotations allouées à la recherche nucléaire civile, mais aussi celles destinées au plan national « Santé-environnement » mis en oeuvre par l'ANSES et celles du Centre national d'alerte aux tsunamis (CENALT).
Il est indispensable de continuer à soutenir la recherche nucléaire civile. Car l'objectif visant à ramener à 50 % la part du nucléaire dans la production d'électricité sera difficilement atteint en 2025. En outre, le GIEC a pris une position particulière concernant le nucléaire civil du fait de la nécessaire décarbonisation de l'énergie.
Mon avis sera donc défavorable car il est essentiel de maintenir une recherche de pointe, capable d'améliorer et de sécuriser les technologies mises en oeuvre, tout en résolvant le problème de la gestion des déchets nucléaires.