Dans le prolongement d'un sujet examiné récemment, il s'agit d'abonder les crédits budgétaires pour l'innovation de rupture par le produit des dividendes perçus par l'État au titre de ses participations dans le capital des entreprises dont il est actionnaire. Nous constatons que la vente du capital détenu par l'État dans Aéroports de Paris et la Française des jeux produit beaucoup d'argent, qui serait utilement employé pour répondre aux besoins évidents du Fonds pour l'innovation de rupture.