De rejet préalable, pardon. Quoi qu'il en soit, il est clair, comme l'a dit à l'instant Valérie Rabault, que ce texte, même s'il se limite, et l'on s'en félicite, à des dispositions budgétaires, traduit des choix très importants et très lourds – nous parlerons tout à l'heure des OPEX, ou du compte spécial « Transition énergétique » – et comporte des redéploiements importants, tant en annulation qu'en ouverture de crédits, qui auraient à mon sens nécessité une bonne semaine d'examen.
Comme cette semaine d'examen n'a pas eu lieu, pour des raisons de procédure, nous ne pouvons faire autrement – et c'est bien malheureux, car sur le fond, le projet de loi comporte des choses positives – que de défendre cette motion de rejet préalable.