... explique que la fiscalité écologique est utilisée dans une logique de « rendement budgétaire ». La fiscalité verte a été alourdie de 8 milliards d'euros en deux ans, alors que le budget de l'écologie n'augmente que de 16 %, selon M. Luche, soit 1 milliard d'euros. Peut-être faut-il chercher l'écart entre ces deux montants dans d'autres lignes budgétaires, mais j'imagine que le rapporteur général mettra une ardeur particulière à nous faire comprendre la situation.