La première résulte du fait que ce texte est purement budgétaire. Il se borne à ouvrir les crédits qui s'avèrent nécessaires, à annuler en contrepartie ceux qui peuvent l'être et à dégeler ceux qui demeurent utilisables.
Par ailleurs, il proscrit les dispositions fiscales. Pour avoir souffert, pendant tant d'années, d'avalanches d'amendements fiscaux, déposés par charrettes entières en dernière minute, se comptant par dizaines ou par centaines, je dois dire qu'il y a là un vrai progrès.