Cette pause permettrait à nos concitoyens d'économiser 3,9 milliards d'euros. Ce serait une réponse tout à fait adaptée au problème actuel. Le débat serait reporté aux années suivantes.
L'ensemble des groupes d'opposition expriment la même préoccupation, monsieur le ministre : tous ont déposé des amendements sur le sujet. C'est dire l'inquiétude qui règne dans nos campagnes et dans nos territoires ruraux, notamment pour des personnes qui touchent un salaire proche du SMIC et qui doivent faire quarante kilomètres pour aller travailler. Nous devons l'entendre.