La disparition de l'ISF fait que les placements boursiers, c'est-à-dire les plus volatils et les plus spéculatifs, pour utiliser des mots audibles par tous, ne sont soumis à aucune taxation en matière patrimoniale. En revanche, aussi paradoxal que cela puisse paraître, la propriété terrienne, qui peut grandement contribuer à la résorption d'un certain nombre de problèmes environnementaux, reste taxable au titre de l'IFI. C'est tout à fait surprenant. Au travers de mon amendement, je dénonce ce mécanisme.