Il s'agit de faire en sorte que les revenus liés à la participation ou à l'intéressement ne soient pas susceptibles d'être fiscalisés au titre de l'année 2018 – c'est le gaulliste qui s'exprime ici. En effet, ces revenus résultent de la cohésion entre le capital et le travail, comme on disait naguère, et ne doivent donc pas donner lieu à une imposition spécifique.