Cela ne s'est pas produit lors du précédent quinquennat. La solution n'est jamais de créer des postes pour en créer, mais de savoir faire des choix qualitatifs. Nous les faisons pour l'école primaire, pour les savoirs fondamentaux, pour la formation des professeurs ou pour la réforme du lycée, qui a été réalisée en écoutant les professeurs de France. C'est aussi en écoutant 40 000 lycéens que nous avons construit cette réforme.
Nous menons donc aujourd'hui une politique qualitative, pour laquelle nous avons de nombreux moyens supplémentaires – 850 millions d'euros, c'est considérable – , crédits que nous ciblons sur ce qui améliorera le système.
Car si vos recettes fonctionnaient, madame la députée, nous n'aurions pas à faire tous les progrès que nous devons encore réaliser.