Monsieur le ministre, il serait bon que vous répondiez en détail par égard pour les lycéens que j'ai rencontrés et auxquels je tire mon chapeau, car ils sont extrêmement responsables. Ils avaient annoncé ce matin une journée de blocus. Ayant reçu des garanties, et bien qu'ils n'aient pas encore le professeur de philosophie qui a été nommé, ils ont cessé.
Ce sont des enfants qui valent le coup. Leur situation mérite mieux qu'un simple « avis défavorable ».