Ce que vous dites, monsieur Di Filippo, c'est qu'il faut préserver le budget du sport pour les Jeux olympiques. C'est déjà fait, et ça continuera de l'être. La préparation des Jeux olympiques et les pratiques dans les territoires sont deux choses différentes : la première coûtera de plus en plus cher, les secondes seront préservées et développées à la hauteur de ce que l'on peut mettre en place et des besoins dans le pays.