Il faut bien comprendre l'inquiétude des mondes associatif et sportif. Les mauvaises nouvelles se sont accumulées. L'année dernière, ils ont subi la baisse très forte du nombre de contrats aidés et les contrats « parcours emploi compétences » – PEC – qui les ont remplacés ne répondent pas aux besoins des petites associations et des clubs sportifs. Ensuite, la substitution du FDVA à la réserve parlementaire a donné lieu à une diminution de près de la moitié des sommes allouées. Enfin, le budget du sport a baissé sur deux années consécutives. Il faut entendre l'inquiétude du mouvement sportif et du monde associatif.
Pour leur redonner confiance, le Gouvernement devrait s'engager, parce que nous organisons les Jeux olympiques de 2024 et d'autres grands événements sportifs, à un effort budgétaire sur plusieurs années en faveur des associations et du sport.