En transformant la réserve parlementaire en FDVA, vous avez appliqué le principe des Shadoks : « Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? » Dans le système précédent, un élu pouvait aider une association de manière très réactive. Dans votre système, très compliqué, plus personne ne sait qui prend la décision, ni dans quel tempo, ni où, ni comment. Bravo !
Qui plus est, vous avez réussi à pervertir le principe de Lavoisier : « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » – j'ai d'ailleurs l'impression de revoir votre fiscalité écologique. Le tuyau est percé : une partie de la réserve parlementaire s'est perdue dans le grand gouffre de l'État. On se retrouve, in fine, avec des subventions aux associations gravement atteintes.