Monsieur le rapporteur spécial, je prends note de votre réponse. Toutefois, il me semble que nous sommes d'accord, sur tous les bancs, pour considérer que la réussite des étudiants français n'est pas un coût pour nous. Ils sont notre avenir, nos enfants, nos étudiants ! Comment peut-on parler de coût à propos des études de nos enfants, qui sont si importantes ?
Certains étudiants doivent travailler pour financer leurs études. Certains travaillent même davantage pour gagner leur vie que pour étudier. Ce n'est pas satisfaisant. Il serait bon que chacun ait les mêmes chances que les autres. Tel est le sens de l'amendement. Nos étudiants ne doivent pas être considérés comme un coût pour nous.