En tout cas, il y a là un progrès que nous pouvons enregistrer.
Cela dit, vous reprenez au fond la même argumentation que tous les ministres qui vous ont précédée : on ne sait jamais d'où viendront les éléments qui permettront de sauver les enfants. Viendront-ils de la recherche spécifiquement consacrée à la pédiatrie ou bien, de manière dérivée, d'autres recherches plus larges, portant sur l'ensemble des traitements des différents cancers ?
C'est cette argumentation qui justifie, depuis tant d'années, que nous ne fassions rien.