Concernant le comité d'éthique du numérique, il serait d'abord opportun de mettre en cohérence son action et celles de ses partenaires européens, voire mondiaux. Aujourd'hui, les données qui sont collectées – en ce moment même dans cette salle – sur chacun d'entre nous sont traitées un peu partout dans le monde. Une coopération me semble donc plus que nécessaire.
S'agissant de la garantie humaine, j'ai évoqué « l'humain en dernier recours », qui devrait être inscrit dans la loi comme un droit majeur. Il n'est pas envisageable de contraindre un être humain à être soigné par un robot, une intelligence artificielle.