Je prends acte du fait que M. Mazars s'est invité lui-même à retirer son amendement. Cher collègue, le problème existe – vous l'avez d'ailleurs exposé à l'occasion de vos multiples travaux dans les maisons d'arrêt et en milieu carcéral – et nous devons le résoudre. Aurez-vous le temps d'y parvenir avant la séance ? Je l'ignore. Il faut en effet avoir un échange approfondi avec le ministère de la santé. Votre objectif est ambitieux mais sans doute atteignable et de toute façon important. Je vous remercie de retirer l'amendement à ce stade, ce qui ne préjuge en rien de mon avis sur le fond.