Cet amendement concerne spécifiquement l'aide à la scolarité des enfants français.
Vous affirmez que la dotation initiale sera complétée par un prélèvement sur les liquidités de l'Agence pour l'enseignement du français à l'étranger d'un montant de 5 millions d'euros. Cela peut sembler une solution facile mais ponctionner les réserves d'un établissement, c'est toujours risquer de le mettre en difficulté.
Par ailleurs, le recours à un instrument non budgétaire ne constitue pas une mesure d'augmentation de crédits. C'est la raison pour laquelle nous demandons l'inscription dans le budget d'une augmentation de 5 millions d'euros plutôt que cet artifice que peut constituer une ponction sur des réserves.