Il s'agit, madame Dalloz, de deux choses bien distinctes. Les PIA 1 et 2 financent, via BpiFrance, les fonds d'amorçage, par les dispositifs fonds de fonds, et ils concernent des start-up privées. Cela n'est absolument pas remis en question par le dispositif qui vous est ici proposé.
L'amendement du Gouvernement, au profit duquel j'ai retiré celui de la commission, et qui mobilise 5 millions d'autorisations d'engagement, a une finalité différente, puisqu'il concerne des start-up à finalité de transformation publique. Il faut bien distinguer cela des crédits destinés aux fonds d'amorçage des start-up, qui existent toujours et ne sont pas remis en cause.