Mon esprit est peut-être lent, mais il faudra m'expliquer comment, en favorisant la délocalisation des actions, vous trouverez des investisseurs. Vous le savez, monsieur le ministre, cent de nos fleurons sont, à tout moment, à la merci de fonds d'investissement prédateurs étrangers venant siphonner notre tissu industriel. C'est ce sujet que nous devrions évoquer.
On aurait pu doter la France d'outils d'investissement public permettant d'être réactifs face à des cas comme celui d'Ascoval, plutôt que de gaspiller l'argent public dans un CICE – crédit d'impôt compétitivité emploi – dont tout le monde sait l'inefficacité.