L'objection majeure à cet amendement, à mes yeux, est celle qu'indiquait Mme Dalloz : le coût pour les finances publiques. Je comprends très bien, sur le principe, que l'on veuille rehausser le plafond des abattements applicables aux donations en ligne directe, même si les dispositions actuelles sont déjà très avantageuses : après tout, ces opérations font circuler un capital qui peut ainsi tomber aux mains des nouvelles générations. Mais, je le répète, le coût d'une telle mesure pour les finances publiques est totalement prohibitif.