Vous me connaissez, j'ai tendance à penser qu'il revient plutôt à Bercy de s'occuper de procédures fiscales dont le ministère de la culture a la charge – cela en fera sourire quelques-uns ici…
Cela dit, je comprends la démarche, et émettrai donc un avis de sagesse. J'aimerais seulement être sûr que la primauté donnée à une convention signée avec le ministère de la culture n'empêche pas Bercy de rendre un avis particulièrement circonstancié, relativement à l'intérêt de l'opération concernée pour le budget de notre pays.