Cet amendement vise à porter de 30 à 50 % l'abattement de l'IFI au titre de la résidence principale, et ce afin de prendre en compte le prix du foncier, croissant, dans certaines zones tendues – capitale ou villes côtières, par exemple. L'entrée en vigueur de cette disposition serait différée au 1er janvier 2020, afin d'en permettre le lissage dans le temps.
Je demeure sceptique sur la taxation du patrimoine immobile, qui ne produit pas de richesses immédiatement, et lui préfère la taxation des flux – d'où ma position, notamment, sur la flat tax. Tout en restant opposé à l'IFI, comme je le fus à l'ISF, je propose donc ici de l'alléger.