On constate qu'il existe deux freins à la certification environnementale, en particulier dans la viticulture. Le premier est évidemment le coût. Le second est l'appréhension des viticulteurs : ils se disent que ce sont des démarches supplémentaires, des papiers à remplir. Pourtant, à y regarder de plus près, ils sont souvent très près d'atteindre cette certification environnementale ; ils n'auraient qu'un petit effort à fournir pour en obtenir le premier niveau.
Nous proposons un accompagnement limité dans le temps, jusqu'en 2020, afin d'inciter nos viticulteurs à se tourner vers la certification environnementale. Cela répondrait aux objectifs que nous nous sommes fixés dans la loi relative à l'agriculture et à l'alimentation.