Quand il n'y a plus de commerçants là où l'on vit, il faut tout de même pouvoir se faire livrer, et il n'est pas question, ici, de déterminer si ce n'est pas le fait de se faire livrer qui affaiblit le petit commerce… Reste qu'il faut prendre les évolutions technologiques en considération.
Songeons en particulier aux implications que cela aurait pour la Poste, alors même que nous luttons souvent ici pour que ses agences ne ferment pas. S'il y a de moins en moins de colis à livrer, les facteurs auront de moins en moins de travail. Encore une fois, votre proposition a des implications négatives, même si notre objectif est le même : rééquilibrer la fiscalité entre les deux types de commerce.