Je partage l'avis des deux collègues qui viennent d'intervenir. La profession de journaliste et la presse sont aujourd'hui menacées, parce qu'elles subissent une concurrence complètement déloyale des géants de l'internet, qui ne sont pas soumis aux mêmes contraintes économiques et de régulation.
Il faut faire très attention sur ces sujets. Les effectifs des rédactions ont diminué au cours du temps, et il faut prendre garde au fait qu'il y ait de moins en moins de journalistes. Avant de proposer ce type d'amendements, je préférerais que l'on dresse un bilan de l'état de la presse en France. À rebours de ces amendements, je considère qu'il faut apporter tout notre soutien aux équipes de presse.