Il ne m'appartient pas, monsieur Bourlanges, de décider de la façon dont le Parlement organise ses discussions. Il fait ce qu'il souhaite, il peut interpeller le Gouvernement.
Il existe une mission d'information, dont les co-rapporteurs sont Guillaume Chiche et Gilles Lurton, qui s'intéresse à toute la fiscalité de la famille.
Vous connaissez tous l'état des comptes publics ; ce n'est pas cette année que nous pourrons dépenser plus. Mais j'entends votre intervention, monsieur Bourlanges, et je m'en ferai le relais auprès du Premier ministre et de la ministre de la santé et des affaires sociales.
Je suis tout à fait favorable aux principes que vous défendez ; comme parlementaire, j'ai voté contre les baisses du quotient familial, qui ont beaucoup touché les familles françaises – même si nous pouvons constater ensemble qu'elle provoque des effets de bord, y compris pour les plus aisés. Il faut sans doute quelque peu la réformer. Nous y reviendrons.