Il instaure un crédit d'impôt pour les dépenses des contribuables qui investissent dans la réparation et le réemploi d'objets du quotidien – appareils électroniques, vêtements – , contribuant ainsi à lutter contre l'obsolescence programmée.
Les objets créés actuellement ont une durée de vie deux fois moins longue que ceux créés il y a vingt-cinq ans.
Cet amendement inciterait à la réparation et au réemploi de ces objets, et soutiendrait cette filière. Il contribuerait, pour une modeste part, à réduire les émissions de gaz à effet de serre, qui font actuellement l'objet de différentes mesures, plus ou moins appréciées.