Aujourd'hui, les externalités négatives des effluents d'huileries de palme et rafle – palm oil mill effluent – sont équivalentes, voire pires, à celles du tallol et du brai de tallol. Aussi est-il juste et proportionné de soumettre la part d'énergie issue de ces matières premières au seuil de 0,6 %, et non de 7 ou 8 % selon qu'il s'agisse d'essence ou de diester.